« Oui pour l’excès, mais avec modération »
En ce qui concerne les aléas de la vie.
Je pense qu’il ne faut jamais être découragé par la longueur du chemin qui reste à faire.
Dans un élan d’empathie et de générosité, vouloir à tout prix le bonheur des autres est une bonne chose, mais il ne faut pas que cela nous rende amer ou triste à cause de l’ampleur de la tâche ou de l’ingratitude de certains.
Le chemin peut être également linéaire, il n’est pas toujours nécessaire de revenir sur ses pas.
La nostalgie ne doit pas être un aliment de nos désillusions ou l’idée d’un bonheur perdu à jamais.
En vivant l’instant présent, et en l’embellissant de notre compassion et de notre amour sincère, nous pouvons faire beaucoup pour ceux qui sont proches de nous (pour les autres, et pour nous mêmes inclus)
₪₪₪₪₪₪ EFIMERIS ₪₪₪₪₪₪ 
» Le petit cheval dans le mauvais temps,
qu’il avait donc du courage….
C’était un petit cheval blanc, tous derrière…tous derrière,
et lui, devant…. »
Paul Fort
juste pour m’amuser et… peut-être te faire sourire :
« Fuir : prendre son courage à deux pieds. »
de Alexandre Breffort
Je manque quelquefois de courage, il m’arrive d’en éprouver quelques remords… mais je me connais, je ne suis pas faite pour TOUT supporter. Et quand je laisse des plumes dans ces affaires-là, malheureusement, il y a quelques dégâts collatéraux ! et ça, je ne veux plus !
Bisous.
Merci Marie-Jo de ton commentaire
C’est pour cela que je dis » vivre l’instant présent en l’embellissant de notre compassion et de notre amour sincère. » D’aucuns possèdent des aptitudes au bonheur , d’autres deviennent les artisans de leur propre déconfiture .( et je préfère la confiture à la déconfiture hé hé hé !)
Confiture d’aléas … sais pas si c’est bon.
De toute façon : droit devant histoire de pas se perdre dans les méandres en glu du passé.